De manière exceptionnelle, il peut arriver que des documents commerciaux, ne constituant pas des éléments de marquage au sens strict, soient inclus dans les collections de marques. C'est le cas ici pour Haro. Nous reproduisons un en-tête de facture (1826), car le même document, découpé, a pu servir d'étiquette par marquer des châssis. Une facture bien conservée peut alors servir de référence pour déchiffrer ou compléter une étiquette déchirée, tachée, fragmentaire.